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" "le peuple n’est plus niard : c’est là où il est moins dévot. qu’aviez-vous fait de tant de milliards ? dit-il à ce dispendieux prévôt. aux politiques véreux et laudateurs donnant je louangeais corruption et détournements, ne vous déplaise. vous gaspilliez ? le peuple en est fort aise. eh bien ! numérotez vos abattis maintenant. jean de la fontaine remixé repost 0 published by azedallo commenter cet article 22 février 2014 6 22 / 02 / février / 2014 17:59 l’addiction au pouvoir ou la mentalité de la blatte ! un mandat suffit, deux mandats c’est déjà beaucoup, trois mandats c’est trop ; mais alors quatre mandats !!!! "l’avantage du nouveau, à ne pas douter, c'est la présomption de propreté." l’autre jour, je conseillai à ma fille ce que j’avais déjà eu l’occasion de placer auprès d’une amie dans deux situations, apparemment dissemblables. aux soucis affectifs de ma fille, j’oppose une petite théorie déclinée sur un ton paternel compréhensible : ecoute ma fille, dans la vie, que dis-je, dans l’univers tout est question d’équilibre mécanique entre les forces en présence. quand ça bascule d’un côté ou de l’autre c’est que l’équilibre est rompu. la cause de la rupture réside dans la perception que nous avons ou que nous nous faisons du zéro, de l’axe de rotation de toute surface de révolution, d’un pivot ou d’une articulation, de l’axe focal, de l’axe de symétrie, de l’axe du balancier ou de la roue…sur la ligne du temps ! négatif au deçà du zéro, positif au-delà. les signes moins et plus, des pièces enclavées l'une dans l'autre et réunies par une charnière, zéro ! si un moteur grince, il y a forcément quelque chose en plus ou autre chose en moins. le lien de l’équilibre ou du déséquilibre mécanique est toujours là : lien affectif, social, professionnel, biologique, filial, amical, commercial, de voisinage, de guerre, de paix, d’amour, de conception, de vacuité, de plénitude… moins ou plus en quoi que ce soit déçoit ! dans une relation de partage, celui qui en prend plus déçoit celui qui en prend moins ; et même celui qui en prendrait plus serait déçu de ne pas en avoir pris davantage. si tu n’aimes pas suffisamment, ceci témoigne du manque d’équilibre entre ce que tu obtiens et ce que tu attends de cette relation. une autre anecdote. alors que je circulais en voiture à un croisement de trois chemins en « t » où il fallait, à l’un ou l’autre faire un petit marche-arrière, ne pouvant pas prendre le risque, par manque de visibilité retro visuelle, en prenant mon temps, j’obligeai mon vis-à-vis à s’exécuter. il le fit non sans me couvrir de son mépris en me toisant de la tête aux… roues cependant que j’essayais de m’excuser. nous sommes en algérie, qui s’excuse s’accuse ! dans cette situation aussi, j’ai présumé de l’équilibre du potentiel cognitif et de l’esprit d’analyse, les miens et ceux de mon vis-à-vis. j’ai cru, pendant un bref instant, que la dangerosité de la manœuvre qu’il attendait de moi était ou du moins serait, après une brève réflexion, perçue et comprise au même niveau. comme on peut le constater, j’ai eu moins, selon ma perception des choses, que ce que j’attendais et mon vis-à-vis a eu, à n'en pas douter, moins que ce qu’il appréhendait. généralement, quand il y a plus d’un côté, il y a forcément moins de l’autre. mais là, concrètement, moins de mon côté et encore moins de l’autre, ça laisse dubitatif ! il y a dispersion des moyens cognitifs, une perte de moyens qui aurait pu servir à un gain de temps, d’espace et de … civilité ! pour bifurquer sur la politique, en ukraine ou en algérie, en ce moment précis, deux situations similaires avec des développements différents ou différés : absolutisme, autocratie, césarisme, despotisme, dictature, oppression et tyrannie, émeutes, soulèvements, affrontements et mort d’hommes, recherche de démocratie, de liberté et lutte contre la corruption de la nature humaine , l’ avilissement, la dépravation, la perversion de la conscience , la déliquescence de l’État , la dissolution des mœurs … cette algérie politique devenue un vrai pandémonium, un véritable antre de mauvais esprits qui ne s'assemblent que pour comploter, fomenter et faire des intrigues. tout à coup, je ne suis plus à mon aise. les mots s’entrechoquent et viennent à manquer, se dispersent et s’éparpillent. j’ai moins de latitude et plus de lassitude. la censure s’insinue et s’écoule à travers la bille de mon stylo. les probables conséquences et les présentes appréhensions quant à ce que je vais écrire s’enchevêtrent devant mes yeux ébaubis. mes pensées s’égarent suivies des mots qui devaient les dessiner. ma démocratie ou la simple idée que je m’en fais rétrécie au fur et à mesure de l’épanchement clampin de l’encre de viscosité et de censure élevées. ma liberté de pensée, mes capacités à traduire ma pensée, l’espace où je peux étaler mes idées, le réceptacle qui peut tolérer mes pensées, le moment où je dois faire état de mes concepts, la perception que je dois susciter auprès de celui qui suit le cheminement de mes idées… tout ça pour ça ! la liberté dans mon pays est à l’image de la mobilité de notre suzerain. notre liberté de pensée, de mouvement, d’action, de culte, de dire, d’écrire ou de lire, de dessiner ou de caricaturer, de publier ou de ne pas publier. notre liberté nous nuit et est notre source d’ennui. notre liberté nous use si l’on s’en sert. notre liberté est une offrande, un cadeau, une parure et un parement du suzerain et de ses affidés pour un peuple en mal d’immobilité. la liberté autant que la démocratie nous pendent au cou ou au nez, c’est selon. notre liberté et notre démocratie sont un harnachement d’apparat ostentatoire de l’extérieur et attentatoire de l’intérieur. elles sont le contrepoids destinés à équilibrer par la force du mot, du verbe et du concept les forces en présence. la fameuse théorie de l’équilibre du début de cette ennuyeuse litanie. l’équilibre entre le genre et la nature, le genre humain et la nature des potentats. dans un de ses discours notre « vénéré » président, que dieu lui prête santé et vie durant le ou plutôt son quatrième mandat et au-delà, puisque tel est son désir ! telle est sa liberté ! tel est notre équilibre ! dans un de ses innombrables discours, donc, son excellence nous fit l’honneur de l’inventaire épuisant mais non exhaustif des personnalités du monde décédées ou vivantes qui ont eu l’honneur et le privilège de le côtoyer : du che à tito en passant par vge. il en avait cité beaucoup sur un ton ampoulé, plein d’emphase et qui laissait penser qu’il avait pompé à ces personnages toutes leurs énergies négatives. ce qu’il omet de dire, même sur un ton moins emphatique, c’est qu’il a oublié de côtoyer ses concitoyens, connaitre leurs misères, approcher leurs masures et appréhender avec eux un avenir commun. il a préféré se lover dans une tour d’ivoire entouré et approché par les siens, ses affidés et les affidés des siens. il ne consentait à prendre le pouls du peuple que pour parer les abords électoraux d’atours immoraux, vaniteux, prétentieux et pédants qu’il croit hors de portée de tous ses « sujets ». la notion d’équilibre trouve là, plus que partout ailleurs, sa négation claire et simple. une campagne électorale par procuration entre un candidat consensuel sentant le sapin - consensus entre les oligarques, l’armée, le drs et la maffia politico-financière – qui prend un malin plaisir à : o battre campagne en vue d’élections hors de portée d’électeurs en cibles verrouillées ; o organiser un simulacre d’élections au singulier pluriel ; o proclamer des résultats électoraux préfabriqués à hauteur de l’égo hypertrophié du candidat président ou du président candidat ; o dépenser des milliards du candide peuple en vraies fausses campagnes, en subsides versés aux lièvres, aux organisateurs, aux commissions et aux sous commissions, aux bureaucrates et aux « bourre crates » ; dans cette optique un maillage institutionnel des plus serrés est tissé par le clan présidentiel pour faire main basse sur tous les leviers de commande de l’élection présidentielle. seule alternative à la garantie d’impunité et à la sauvegarde des privilèges. méditez ce châtiment : haolone, prince tartare et frère de cublaï grand khan de tartarie lève une puissante armée, s’empare de la perse et fait mourir de faim le calife de babylone qu’il enferme dans une tour avec tous ses trésors sans rien pour se nourrir. repost 0 published by azedallo - dans algérie politique commenter cet article 22 février 2014 6 22 / 02 / février / 2014 17:53 je ne sauverai mon honneur que si celui de mes concitoyens est sauf ! l’honneur communautaire est un et indivisible et son intégrité n’est sauve que si ses politiques se drapent d’honneur. des responsables de partis brosses à reluire prétendent que bouteflika est « trop grand » pour ses pompes, trop grand pour être élu démocratiquement, trop grand pour parler au peuple de son handicap, pour lui parler tout court, trop grand pour parler aux journalistes locaux…ils soutiennent mordicus, avec une voix lancée avec des trémolos dans la gorge, comme une incantation aux dieux de la politique que bouteflika est trop grand pour qu’amar saidani l’ex travailleur manuel, le percussionniste parlât en son nom ! ce serf zélé et télécommandé qui sort le grand jeu « d’entrée de jeu » en s’attaquant, déclarations, revirements et volte-face, à ses maîtres ne pratique pas de sport individuel ! ces déclarations et ces revirements de situation étaient un peu, beaucoup, passionnément téléphonés ! unique dans les annales des eunuques qu’a connus et que connait ce pauvre pays ! y-a pas photo ! saperlipopette ! mille milliards de sabords ! mais c’est quoi ce délire ? pour qui nous prenez-vous ? pour qui vous prenez-vous ? pourquoi travestissez-vous la réalité par des formules cosmétiques ? le gars est "infardable", non "maquillable à moins, à moins …d’utiliser du gypse et du ciment… sacrebleu ! qui l’avait porté au pinacle en enjambant la morale ? qui avait défoncé la lourde de l’hémicycle rempli de nervis et de portefaix, il est vrai, et mis le sieur saidani au perchoir ? a qui ce saidani avait-il « exprimé sa reconnaissance et sa gratitude» pour cet hélitreuillage à partir de ce même perchoir ? plus récemment encore, qui a convoqué la justice nocturne, les dobermans et fait se rencontrer les parallèles en imposant cet humanoïde à la tête du parti grabataire du pouvoir au son d’une musique assourdissante de casseroles et de derbouka ? dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es ! la similitude ne peut qu’y être. la seule différence, si tant est qu’elle puisse exister à ce niveau, est purement physique et les unités de calcul en sont le mètre et le kilogramme. pardi ! mais c’est quoi ce charivari, ce premier ministre, ces ministres et ce porte-voix de la présidence qui se tirent des fléchettes empoisonnées dans le dos, se dardent mutuellement au sujet d’un président qui est président, au sens urne bourrée du terme, qui veut rester président, au sens cogitation systémique du terme, et qui était président à notre compte et à celui de la cour des comptes et pour son compte, au sens onirique du terme. cette jubilation des onagres trépidants et donnant des coups de sabots dans tous les sens n’est que la partie visible de l’iceberg manipulatoire… ils rameutent, hèlent, rappellent et invitent aux râteliers de la république couscoussière et aux frais de la princesse tout ce qu’il y a de possible et de probable en matière de soutiens intéressés : les organisations d’amasse (de masse), la famille révolue, les levrauts et les lièvres des terriers du terroir et des terriers d’outre-mer et même d’outre-tombe. pourvu que ça passe ! dur, dur de vivre ça. s’il venait à se vérifier que l’idée de faire appel aux levreaux moulessehoul mohamed et nekkaz rachid vint de raouraoua mohamed, point d’étonnement ! la coupe du monde n’est pas loin, le trésor algérie non plus ! nœud gordien que tout ça, mais alexandre « le petit » est là pour séparer le joug du timon et régner sur l’asie(le) algérie…gordias et son char n’ont qu’à bien se tenir. tout ce tapage, ce tintamarre et ce tapis déroulé pour une chaise roulante !!! l’algérie, son peuple et sa constitution sont roulés dans la fange. l’équipe à la tête de l’État qui s’emploie plus à protéger le régime qu'à défendre la société et après quatorze ans de règne prédateur, compte rempiler pour un quatrième mandat se rend enfin compte, enfin, qu’il faut rallonger le métro de quelques centimètres, qu’il faut brûler les tonnes de paperasse qu’ils ont bureaucratiquement exigés du peuple des années durant pour l’occuper, le distraire et l’éloigner de la chose politique. ils dégagent des milliards pour remettre en l’état une autoroute qu’ils ont réceptionné il y a à peine quelques mois et personne ne crie gare ! ils redécouvrent, encore, des énergies fossiles pour entretenir l’espoir et ne pas faire perdre espoir (c’est notre pain quotidien, dieu bénissez-le… bénissez bouteflika !). l’argent coule à flots le premier des ministres, prodigue par procuration de nos milliards, distribue à tout-va, en veux-tu ? en v'là ! les wilayas qui n’ont pas encore, pour la plupart, dépensé leurs allocations budgétaires annuelles se retrouvent avec des subsides sur les bras auxquels il faudrait dénicher au plus vite des projets…ainsi va, va... la campagne électorale bat son plein, le projet de loi de fin ances est toujours élaboré sur la base d’un prix du baril de pétrole à trente-sept dollars pou r un prix de référence qui caracole à plus de cent dollars pour le niveau moyen des prix sur le marché international. le différentiel (le fonds de régulation des recettes est créé à partir de la différence e ntre la fiscalité pétrolière budgétisée et la fiscalité réelle générée par les ventes de pétrole calculées sur un prix moyen sur l es marchés internationaux), eh bien, ce n’est pas qu’il ne soit pas nécessaire, mais il n’est pas encore suffisant. dilapidez, dilapidez, il en restera toujours un peu qu’il faudra encore dilapider. bientôt, sous nos pieds à alger, jaillira du...pétrole !!! pourvu que ça dure ! l’agence nationale de l’amélioration et du développement du logement -aadl- est remise au goût du jour après un oubli calculé, disons de …treize ans. les walis, que monsieur belaiz compte « interchanger » en juin 2014, c’est-à-dire plus de deux mois après les élections virtuelles mais toujours propres et honnêtes qu’il a déjà gagnées, lui et son mentor. les walis donc, sont sommés de recevoir les citoyens séance tenante, en tête-à-tête et à tue-tête, enregistrer les doléances, tirer à hue et à dia quitte à se faire écarteler ou…écarter et trouver dare-dare les solutions idoines : rien que çà ! je demande à voir ! la constitution sera, encore une fois, concassée pour permettre d’ajuster les chaussettes et les bretelles, un vice-président sera prévu pour faire le boulot par procuration et pourrait même pousser la chansonnette et la chaise roulante jusqu’en 2019 ou jusqu’au…trépas. mon dieu, si la gouvernance pouvait être une compagne électorale permanente, le citoyen ne pourrait que bien s’en trouver…que ce quatrième mandat y pourvoit ! vous souvenez-vous de sim’hamed au fond du puits ? le monde merveilleux… ah, innocente jeunesse et coupable vieillesse ! a l’internationale, le régime carbure à sa protection et à sa survie ainsi qu’à celle de ses congénères. les chefs d’États et de gouvernements africains dont celui de l’algérie, bien sûr, il n’y a pas trop loin de la coupe aux lèvres, ont accouru de toutes les encoignures du continent pour entrevoir conjointement le moyen de sauver la peau de ceux d’entre eux qui ont maille à partir avec la justice internationale et de ceux qui en appréhendent la jurisprudence. ce régime usurpateur, populiste, jacobin, prédateur, manipulateur, n’a eu de cesse de faire prendre à ses citoyens les vessies pour des lanternes, les torchons pour des serviettes et ses macaques pour des hommes d’ É tat et sa gestion catastrophique pour une gouvernance éclairée. saidani a accouché d’une plateforme qui ...percute et constitue l’aveu officiel de l’influence de tout les centres de décision par le département du renseignement et de la sécurité : il ne faut plus que le département du renseignement et de la sécurité soit impliqué dans le fonctionnement des partis ; il ne faut plus que le département du renseignement et de la sécurité soit impliqué dans le fonctionnement des média ; il ne faut plus que le département du renseignement et de la sécurité soit impliqué dans le fonctionnement de la justice ; il ne faut plus que le département du renseignement et de la sécurité soit représenté dans les administrations centrales de tous les ministères ; il ne faut plus que le département du renseignement et de la sécurité soit impliqué dans les nominations aux postes supérieurs ; que c’est bien tout ça, mais que ça sorte de la bouche de saidani, hélas mille fois hélas, le ciel m’en est témoin, je me dois de vous épargner les détails, tous les détails qu’ils soient d’ordre olfactif ou auditif. pour contenter le peuple et le caresser dans le sens du poil, en ces temps de mandature en jachère, la gouvernance s’honore et s’enorgueillit même d’acte de piraterie, n’exagérons rien, d’acte de piratage audiovisuel au détriment des droits de diffusion acquits par el-djazira. la qualification à la coupe du monde du brésil, du pain bénit pour bouteflika et ses féaux serviteurs. quoi de meilleur qu’une coupe du monde de football pour canaliser ces énergies juvéniles volatiles au potentiel déstabilisateur avéré. quatrième mandat...d’amener contre le peuple, la treizième plaie de l’apocalypse ! ah, si demain matin à huit heures tapantes on trouvait tous les puits de pétrole asséchés et les gisements gaziers à sec, complètement à sec, pas une goutte, pas un centimètre cube, que dalle. je vous assure, je vous le garantie, le quatrième mandat fera partie de la quatrième dimension et le navire algérie sera abandonné par les rats de la politique en premier et en dernier parce qu’ils s’assureront, avant de le quitter, de l’envoyer par le fond. de le couler, pauvres poires, qu’est-ce-que vous croyez ? ne sont-ils pas en train de le couler en terre ferme en ce moment même. le pays n’est-il pas en pilotage automatique par le fait de l’avilissement de la chose politique. l’administration n’est-elle pas en état de décomposition très avancé par le truchement des déchets qui s’y sont accumulés sous les oripeaux de l’incompétence, la servitude, la veulerie, le népotisme et le clientélisme. l’école n’est-elle pas le démembrement de cet État et de cette administration et la projection de ceux-ci en version décérébrée, inféodée, fardée, bradée, prosélyte et amorale. la santé c’est l’intoxication fongique, contamination virale, bactérienne et nosocomiale assurée dont les soins sont partiellement remboursés par la sécurité asociale. la justice très portée sur les nouvelles et anciennes technologies de l’information, le téléphone notamment, celui qui sonne verticalement et de haut vers le bas. la justice est très partisane du sachet noir à moitié vide ou à moitié plein, c’est selon. dans les palais de justice, c’est de notoriété publique, la nuit porte conseils et…porte ses fruits. konrad adenauer ( et moi-même d’ailleurs, en toute modestie) ne cite que ces trois derniers départements dont la bonne gestion est synonyme de réussite politique et sociale… alger, le 08/11/2013 auteur : azeddine allouit repost 0 published by azedallo - dans algérie politique commenter cet article 7 octobre 2013 1 07 / 10 / octobre / 2013 16:31 l’asinocratie ou les ânes de la politique et les dos d’ânes il faut que la voix des hommes sans voix empêche les puissants de dormir. abbé pierre Âne est le nom vernaculaire donné à certaines espèces de mammifères quadrupèdes de taille moyenne et à longues oreilles de la famille des équidés. le plus connu des ânes est l'âne domestique, issu de l’apprivoisement de l'âne sauvage d'afrique, et à partir duquel de nombreuses races ont pu être sélectionnées. Étymologie de par son origine, l'âne n'a pas de nom indo-européen. celui-ci est un héritage du proche-orient qui s'est répandu dans les langues européennes à partir du latin. dans le langage familier, le terme « bourrique » est issu de l'espagnol borrico, dérivé lui-même du bas latin burricus désignant un petit cheval. caractéristiques communes les caractéristiques générales des ânes sont celles des équidés, avec des nuances pour chaque espèce. les ânes partagent toutefois plusieurs caractéristiques communes à l'ensemble des espèces. synonymes de âne Ø aliboron Ø baudet Ø benêt Ø bourricot Ø lourdaud Ø monture Ø mulet Ø onagre Ø peccata Ø roussin Ø bête de somme les ânes de la politique « un âne à deux pieds peut devenir général et rester âne. » comtesse de ségur l’âne symbole du parti démocrate ? on attribue cette trouvaille au caricaturiste thomas nast qui officiait à la revue harper’s au xixe siècle. ce républicain engagé représenta pour la première fois le parti démocrate sous la forme d’un âne dans un dessin exécuté en hommage posthume à edwin stanton. le dessin parut le 15 janvier 1870. edwin stanton, membre du parti démocrate et ancien secrétaire à la défense ou à la guerre de abraham lincoln, avait soutenu ce dernier durant la guerre de sécession ce qui avait déclenché les foudres de son parti. nast le montrait dans ce dessin sous l’aspect d’un lion mort auquel un âne donnait un coup de pied. l’image de l’âne pour représenter le parti démocrate resta. une autre hypothèse de l’âne comme symbole politique résulte de la campagne présidentielle de 1828 – au cours de laquelle andrew jackson , fut surnommé «jackass», pour son populisme. jackson repris hardiment à son compte l’étiquette et commença à utiliser des ânes sur ses affiches de campagne. durant sa présidence, les caricaturistes le dessinaient parfois en âne pour montrer son obstination sur certains sujets. le symbole de l’âne s’est donc évanoui jusqu’à ce que nast le remette au goût du jour en 1870. par la suite les démocrates firent de cette caricature désagréable une force en transformant cet emblème en un habile et courageux âne. constitution et présidentielle algériennes prolongation du « blanc-seing » actuel de deux ans portant le mandat à sept ans au lieu de cinq actuellement. ceci ne pourrait se faire qu’après une « rature » de la constitution par des experts en torsion du droit et des députés croupions rémunérés par le système et sa figure de proue pour l’encenser et l’adouber avec effet rétroactif. renouvellement de mandat pour un président en exercice éclopé et impotent : la constitution exige la présentation, pour tout candidat à la présidence de la république, d’un dossier médical attestant de la bonne santé. la désignation d’un successeur dans les dispositions d’esprit du régime enclin au tribalisme et rongé par les démons du régionalisme et de l’affairisme nous fera faire du surplace. conclusion “caesarism” césarisme : la possibilité de briguer un troisième mandat manifestée, à l’époque, par le président ulysse s. grant a été dénoncée et désignée comme étant du césarisme. la cure maculée et l’incurie articulée un drabki, à ses heures de gloire, qui traine trois mille milliards de casseroles est hélitreuillé « directeur » du plus vieux parti. une énième souillure des principes basiques de respect et de reconnaissance qu’ils se devaient de témoigner à ce peuple. une véritable incurie s’est installée aux commandes et voudrait durer aux delà des prescriptions régaliennes une véritable meute de janissaires, de courtisans, de plébéiens parvenus, d'arrois, de suivistes, et de prébendiers prévaricateurs se dresse comme un seul homme pour reconduire la cure de pourriture… monsieur le président : vieillir est un impératif… grandir est un choix ! les d os d’ânes je ne trouve pas le réseau routier algérien spécialement uni et lisse, mais on s’est fait une raison et on se surprend à slalomer pour ne pas perdre des pièces de notre véhicule dans des excavations, des fosses et des cratères « en gros caractères »qui surgissent d’un peu partout sur l’asphalte. bien que ces défectuosités soient légion, la nouvelle tendance lourde est actuellement d’en concevoir d’autres. les ralentisseurs sont érigés, en veux-tu ? en voilà, avec le budget serré et étréci accordé à l’entretien des routes, les dos d’ânes fleurissent et les citoyens lambda très friands de nonchalance somnambulique aiment à traverser « adossé à un dos d’âne »plutôt que de grimper les marches de la passerelle juste à côté. alors, pour bien affirmer cette inclination, les citoyens se mettent à ériger des ralentisseurs et participent à élargir l’éventail oh combien suffisamment étendu « des gendarmes couchés ». il y en a des larges, des étroits, des ronds, des carrés, des hauts, des en béton armé, des en caoutchouc, des en métal, des en bitume. (hauteur 10 cm , longueur 4 m ) la propension tend à remplacer la panoplie de panneaux signalétiques par les dos d’ânes. tout bonnement criminel ! À nos « élus » : faites-donc obstruer les niches avant d’ériger des protubérances. ! un accident mortel sur une rame de métro deux jeunes ont traversé le rail sans faire attention à la rame du tramway qui surgissait. le conducteur, surpris par leur présence, n’avait pas assez de temps pour freiner. une victime est morte sur le coup, alors que l’autre a été grièvement blessée pourquoi ne pas barricader tout le long des rails en réalisant des échangeurs. connaissant l’incommensurable génie des « gouvernants » de ce pays, je ne serais même pas étonné, ni même un tout petit peu ébahi s’il leur venait à l’idée d’ériger des dos d’ânes ou plus prosaïquement, des ralentisseurs pour éviter que ce genre d’accident ne vienne endeuiller, encore une fois, des familles et risquer en conséquence de déranger la quiétude des hurluberlus politiques. Ça a bien marché pour, les routes, les voies expresses et les autoroutes, les rues et les ruelles, les passages et les impasses, les monts, les vaux et les chemins vicinaux. ils pourraient même laisser foisonner les nids de poule, les crevasses et les craquelles ; faire passer sur les rails du tramway des porte-chars, des porte-conteneurs ou même le porte-flingue ou le porte-parole en l’air du gouvernement. contes, fables, comptines et légendes de charles perrault il était une fois, un roi qui était le plus riche, le plus puissant de tous les rois de la terre. sa reine était la plus belle de toutes les reines et sa fille unique encore plus belle que sa mère. dans une des salles du palais, juste à côté de la salle du trône, se tenait un âne. il avait le don de faire des crottes en or ! tous les matins, le roi passait prendre de quoi bourrer les coffres du palais. perdant sa femme à qui il fit la promesse sur son lit de mort de n’épouser qu’une femme d’égale beauté, il entreprit de trouver aussi belle que la défunte ou encore plus belle qu’elle pour l’épouser. rien n’y fit. mission impossible…en désespoir de cause, il songea épouser sa propre fille ce qui déjà en ces temps-là ne se faisait pas. pour échapper à ce triste sort la fille, et après avoir demandé conseil à sa fée marraine, demanda à son roi de père de lui faire confectionner une robe avec la peau de l’âne aux crottes en or. quinze jours plus tard, la princesse vit la peau de l’âne étalée devant sa porte ! elle ne trouva son salut que dans la fuite avec la peau de l’âne sur les épaules et le visage couvert de boue… plus tard le roi-père se remaria et la fille princesse rencontra son prince charmant. l’honneur est sauf. peau d' âne de jean de buridan « le paradoxe de l'âne de buridan est la légende selon laquelle un âne est mort de faim et de soif entre son picotin d'avoine et son seau d'eau, faute de choisir par quoi commencer. on ne peut, à proprement parler, faire de ce cas de figure un paradoxe logique ; il s'agit plutôt d'un cas d'école de dilemme poussé à l'absurde, et ces deux traits caractérisent le phénomène de double contrainte . » « jean buridan, en latin joannes buridanus (1292 - 1363), philosophe français, docteur scolastique, fut l'instigateur du scepticisme religieux en europe. il fut, en occident, le redécouvreur de la théorie de l'impetus, vers 1340. son nom est plus fréquemment connu pour l'expérience de pensée dite de l'âne de buridan. une légende, propagée jusqu'au xxi e siècle par la ballade des dames du temps jadis de françois villon, l'associe à tort à l'affaire de la tour de nesle. » l'âne de buridan de voltaire connaissez-vous cette histoire frivole d'un certain âne illustre dans l’école ? dans l'écurie on vint lui présenter pour son diner deux mesures égales, de même force, à pareils intervalles; des deux côtés l'âne se vit tenter Également, et, dressant ses oreilles, juste au milieu des deux formes pareilles, de l'équilibre accomplissant les lois, mourut de faim, de peur de faire un choix . s'inspirant de l'âne de buridan de jean de la fontaine pour un âne enlevé deux voleurs se battaient : l'un voulait le garder, l'autre le voulait vendre. tandis que coups de poing trottaient, et que nos champions songeaient à se défendre, arrive un troisième larron qui saisit maître aliboron. l'âne, c'est quelquefois une pauvre province : les voleurs sont tel ou tel prince, comme le transylvain, le turc et le hongrois. au lieu de deux, j'en ai rencontré trois : il est assez de cette marchandise. de nul d'eux n'est souvent la province conquise : un quart voleur survient, qui les accorde net en se saisissant du baudet les voleurs et l'âne auteur : azeddine allouit repost 0 published by azedallo - dans algérie politique commenter cet article 7 octobre 2013 1 07 / 10 / octobre / 2013 16:25 le texte-loi et le contexte biologique ou la constitution et le bulletin médical « quand dans un royaume il y a plus d’avantage à faire sa cour qu’à faire son devoir, tout est perdu. » montesquieu de l’improbable quatrième mandat au vain troisième, (vingt-troisième) À dieu ne plaise ! et n’en déplaise aux thuriféraires de tous bords et de tous acabits ! trois mandats passés à mener les poules pisser ! le texte-loi, ici la constitution algérienne, ce document supposé contraignant et normatif s’est toujours complu à sursoir à asseoir l'ordre sociétal et de valeurs et s’est continûment plu à se draper du voile de la norme juridique fondamentale essentiellement politique, à la merci du premier magistrat « venu »… de la pléthore de mandats à la magistrature éternelle, il n’y avait qu’un pas que le condominium advenu du palais de la chambre très basse n’a pas hésité, et c’est le moins que l’on puisse dire, à passer contre une décision princière invraisemblablement rémunérante, oh combien ! et n’est-ce la limite biologique, on en serait encore à confabuler et à pérorer sur les bienfaits d’un quatrième mandat et des suivants et des artefacts de la société de suivistes orthodoxes et disciplinés derrière le duce des temps modernes… l’irréfragable, l’irrécusable usure du temps… niccolò machiavelli contemporain de la renaissance en europe et personnalité très en vue de la république de florence. plus connu chez nous sous le nom de : nicolas machiavel (1469-1527). cet homme politique, ce philosophe et cet écrivain italien est devenu la racine d'un nom commun : le « machiavélisme » c'est-à-dire la fonction politique qui s'affranchit de toute morale et de toute règle hormis celle de la fin qui justifie les moyens…tous les moyens ! machiavel disait que les sociétés pouvaient être dirigées de deux manières différentes : ü « par un prince et des esclaves, qui ne l’aident à gouverner, comme ministres, que par une grâce et une concession qu’il veut bien leur faire » ; ü « par un prince et des barons, qui tiennent leur rang non de la faveur du souverain, mais de l’appartenance à la « famille révolutionnaire » ; et tous les affidés et les sujets qui les reconnaissent, et qui ont pour eux une affection intéressée » ; « tous, en effet, étant également ses esclaves, tous lui devant également leur fortune, il est bien difficile de les corrompre ; « etant directement captivés par la mamelle de la vache à lait » et quand bien même on y parviendrait, il faudrait en attendre peu d’avantages, parce qu’ils ne peuvent pas entraîner les peuples dans leur révolte ». on en veut pour exemple celui de agathocle le sicilien qui brûla les étapes, pour passer de l’état le plus ignominieux à l’état de roi de syracuse, ses fourberies et sa scélératesse lui conférèrent tant de force de caractère et d’âme qu’il grimpa tous les échelons de la carrière militaire qu’il venait d’embrasser pour se retrouver dignitaire du régime avec le grade de préteur de syracuse pour un fils de potier… à l’époque… sous un prétexte fallacieux, il convoque le peuple et le sénat de syracuse, pour avoir les coudées franches et s’emparer de la principauté en déjouant et en s’affranchissant des risques de contestation et de remise en question. il massacre, par ses soldats, une grande partie des sénateurs et de la noblesse qui possède les terres. plus loin et, assiégé par les carthaginois dans syracuse, il laisse des troupes sur place afin de soutenir le siège et décide de débarquer et de porter les combats en afrique en investissant les villes carthaginoises avec une puissante armée, renforcée par des mercenaires, forçant ainsi la main à hamilcar barka qui lève le siège de syracuse. rentré en sicile, il se couronne roi. son petit-fils qui ambitionne de prendre le pouvoir le fait empoisonner au moyen, dit-on, d'un cure-dent. agathocle, agonisant et souffrant abominablement, troque le trône contre un bûcher pour hâter sa mort. la comparaison s’arrêterait là si les objectifs et les desseins de notre prince étaient de près ou de loin comparables à ceux des princes d’antan… nos princes ne gagnent point de guerres, hormis celles menées contre les libertés de leurs concitoyens ; ils n’élaborent point de stratégies, hormis celles de piller les richesses de leur pays et de considérer ce pillage comme inopérant sur les grands équilibres budgétaires . par contre, ce souci est, de façon éhontée, opposé à quiconque réclamerait sa part de richesses sans constituer une menace pour la conservation du pouvoir comme ces jeunes désœuvrés qui manifestent, armes blanches au clair, leur mécontentement ; ils n’usent point de scélératesse et de félonie hormis celles utilisées pour conserver le pouvoir… et la nomenklatura craint moins d’offusquer son patriarche parce qu’il se fait, virtuellement, aimer que parce qu’il se fait abominablement redouter, étant entendu que l’amour tient à un ténu lien de gratitude comparable à une crécelle fêlée dégageant un son de pièce de monnaie qui n’a plus cours à l’opposé de la crainte qui découle de l’appréhension rémanente du châtiment. oui, comme le chien qui aime l’homme qui aime la femme qui aime ses enfants qui aiment leurs jouets qui n’aiment pas les enfants qui n’aiment que leurs mères qui n’aiment que leurs maris qui n’aiment pas tous les chiens qui n’aiment pas tous les hommes… l’amour est aveugle, la haine est sourde ! nos princes, indépendants de notre volonté, ne meurent pas empoisonnés par des cure-dents ni ne finissent sur des bûchers, mais ils succombent à… un a ccident v asculaire c érébral (fût-il) futile a ccident i schémique t ransitoire ! le régime algérien étant le pire du pire, n’en est, en fait, comparable à aucun autre. les régimes tunisien et marocain, pour ne prendre que nos voisins comme exemple, basés sur le règne d’une ou de quelques familles n’élèvent pas la dilapidation et le pillage systématique en ministère, en fonction, en sacerdoce et en sport national de tous les responsables à quelque basique niveau qu’ils soient. ils n’entretiennent pas, n’engraissent pas, ne ménagent pas, ne câlinent pas et ne protègent pas la lie de la société qu’ils utilisent à diverses fins de pouvoir et de conservation de pouvoir. les régimes tunisien et marocain protègent leurs citoyens contre l’avidité et la cupidité commerçante et marchande à tous les échelons horizontaux ou verticaux. le régime algérien s’est totalement adossé à la rente et fait le lit de la concussion à grande échelle. il a véritablement lancé une offre publique d’achat hostile sur tous les biens renouvelables et non renouvelables du pays de l’État et du citoyen…c’est simple on est passé de la corne d’abondance à l’abondance de c… « et je ne puis tourner autour de moi sans voir de nouvelles tortures et de nouveaux tourmentés ». divine comédie. on attribuerait moins l’élévation qu’obtiennent nos princes, indépendants de notre volonté, à la valeur ou à la vertu qu’à la scélératesse, à la félonie, à la forfaiture et à la haute trahison… leurre de vérité sonne quand le mensonge est en récré… vivre démocrate en algérie, c’est mourir l’avant-veille de sa mort ! auteur : azeddine allouit repost 0 published by azedallo - dans algérie politique commenter cet article 4 mai 2013 6 04 / 05 / mai / 2013 11:08 l’envers de l’endroit réécrire l’histoire, je dis bien réécrire et non point écrire, parce que depuis l’indépendance l’histoire a été écrite aux premières personnes du singulier et/ou du plurielle et travestie, édulcorée, glorifiée, gratifiée à outrance, tant et si bien qu’elle produit l’exact contraire de l’effet escompté. le stylo historique a écrit des demi-vérités des contre-vérités, il a sous-estimé par-ci et surestimé par-là, il a exclu, excommunié et tué. il a chanté des louanges à des couvées de mésanges. il a nargué le lecteur non engagé ou indifférent, il a usurpé des mots, des faits et des hauts-faits, il a monopolisé l’exercice du pouvoir, lui a créé une famille grabataire mais dans le giron de laquelle, il a congloméré et rameuté les fils caudataires, petits-fils, cousins germains et rejetons lointains fussent-ils gaulois. pour réécrire l’histoire à reculons, faut-il commencer par le futur ou le présent ? si on commençait par le présent pour mieux appréhender le passé, le futur nous rattraperait et nous relèguerait au passé. si on commençait par le futur, le présent s’allongerait et s’étirerait pour prendre les apparats du passé. le passé n’est jamais déjà passé dès que rattrapé par le présent que déjà dépassé. le présent ne saurait s’apparenter au futur en excluant le passé, parce que, citer le présent, c’est déjà le futur quand on a fini de le prononcer et le passé quand on a commencé à le faire. vous rendez-vous compte de la volatilité et de la vacuité de la notion de temps ? finalement, le temps n’est perceptible qu’à travers les outrages de l’âge. plus on prend de l’âge, plus visibles sont les outrages du temps passé et peut-être même présent. le temps s’étire et ne finit pas de le faire. notre vie est une portion de temps, mais quel temps est une portion de notre vie ? est-ce-que notre vie est une portion de temps passé, présent ou futur ou des trois à la fois ? et si le temps est le temps pourquoi parler de temps présent ou de temps passé ? le temps, nous courrons derrière ! pas si sûr ! nous sommes dans le temps, ni devant, ni derrière, enveloppés, happés…on peut dire qu’à mesure que nous avançons, nous reculons. le temps est un cercle ou infiniment autant de cercles concentriques qu’il y a de vies. des cercles qui se rejoignent au commencement ou à la fin des vies. pour revenir à l’histoire de la politique ou à la politique de l’histoire en algérie, cette notion vague et sans consistance de temps a pris et prend toute sa valeur ou non-valeur, depuis l’indépendance du pays, le temps s’est confondu avec l’argent. ne dit-on pas, et ici et à bon escient, que le temps est de l’argent ou, pour être plus exact, le temps c’est du pétrole et du gaz. comme ces deux matières sont, en plus d’être volatiles et inflammables, épuisables, elles constituent seulement une portion de temps. juste une vie, une simple et banale vie que le pouvoir et ses laudateurs sont entrain de ronger par les deux bouts… auteur : azeddine allouit repost 0 published by azedallo - dans algérie politique commenter cet article 12 avril 2013 5 12 / 04 / avril / 2013 14:21 avant votre venue, l’indépendance manquait au pays. après votre départ, le préfixe manquera au radical. un journaliste à un politique (et ami) algérien : dites-nous à combien estimez-vous votre patrimoine ? v j’ai deux villas, pratiquement un appartement par wilaya, plusieurs lots de terrain à bâtir, une usine rachetée à l’etat, un salaire de haut factionnaire, une retraite à cent pour cent, un terrain agricole acquis à la suite du dépeçage de la mitidja, j’ai placé mes enfants, qui chez les hauts gradés de l’armée et de la gendarmerie, qui à sonatrach, qui à air algérie et…tous ont été aidés pour avoir leurs diplômes et leurs postes par téléphone de... bureau. v mais moi, je voudrai avoir une estimation chiffrée. v oh ! il n’y a vraiment pas de quoi fouetter un chat de gouttière rachitique ! v comment ça ? v j’ai acquis les deux villas au dinar symbolique et … v excusez-moi de vous interrompre, combien dites-vous ? un dinar symbolique ? v mais non, rassurez-vous, un dinar symbolique chacune… v c’est cher payé quand on pense que vous êtes un ponte … v un ponte du régime sec qui vous gouverne ! vous voyez, je vous lis, moi aussi, de temps en temps et ça n’empêche pas la caravane de passer. quant à moi, je suis beaucoup plus sur une pente qu’une ponte. voyez-vous, depuis mon départ forcé, je n’arrive presque plus à soutirer quoi que ce soit au régime… v de bananes de staouali ! v le reste aussi a été payé au dinar symbolique ? v n’exagérons rien, disons que pour ce qui a été payé oui ! v parce qu’il y a des acquisitions que vous n’avez pas payées ? v ne soyez pas naïf mon bon ami, il y en a, et des masses, qui n’ont rien payé. même pas leur baguette de pain. v vous avez eu droit à des crédits bancaires ? v sans intérêts … v …et sans obligation de remboursement… v comment le savez-vous ? v vous savez, le régime, à force de s’y soumettre, on en prend de la graine ! v ha, ha, ha ! et ça vous suffit ? v la germination féconde. v une seule et simple graine ? v « patience et longueur de temps font plus que force ni que rage » v alors que d’autres, censés symboliser et protéger les intérêts de l’algérie, ne font que soutenir et parrainer les intérêts de leurs «compères» de la gentry mondiale du pétrole, du gaz et de l’argent ! v vous le savez, vous en partez et ça ne vous fait rien ? v ou vous êtes dans le cercle ou vous en êtes exclu ? que faire regarder de loin et se lamenter à l’infini ou participer à la curée et prendre une place qui, même sans moi, sera quand même prise ? v très bonne déduction, mais ce pays a besoin de ses enfants pour le protéger contre ses prédateurs. si tout le monde pensait comme vous le cercle ne pourrait pas tous les contenir. v que nenni ! ne vous en faites pas, il y a plusieurs cercles, qui plus est, concentriques. v vous voulez dire que même moi, je me trouve dans un cercle sans le savoir. v non, il y a des gens qui sont et doivent demeurer hors des cercles concentriques. v pourtant selon une théorie que je ne pourrais pas vous citer de mémoire, à partir d’un point qu’on pourrait considérer comme un centre, on peut construire autant de cercles qu’il y a de points au-delà et en deçà de ce centre. v pourquoi est-ce que vous avancez des théories aussi fumeuses ? v je ne me permettrais pas, au prix ou en sont les clopes ! v c’est comme ce forum économique mondial où s’est faite l’évaluation de la faculté du pays à exploiter les technologies de l’information et de la communication pour booster la croissance, la compétitivité et la prospérité de ses citoyens et qui classe l’algérie parmi les quatorze premiers …à partir du queue de la liste. s û rement en référence à la race classée par hitler en quatorzième position après un amphibien de l’ordre des anoures. ils prennent leurs informations auprès de sources peu crédibles comme les associations non gouvernementales au lieu de s’adresser au gouvernement de ce pays perclus de compétences sincères et désintéressées. v je vous arrête ici parce qu’avec une telle longueur de langue de bois la forêt amazonienne ne suffirait pas. tout le monde sait que le régime algérien a peur de tout et de tous entre autres des technologies de l’information qu’il ne peut ma î triser et qui mettraient sous les feux des projecteurs les niveaux de gouvernance, de gestion, de sincérité, d’honnêteté, de démocratie, de transparence… beaux euphémismes, n’est-ce-pas ? v les tic pour l’algérien se résument au téléphone portable qui sert pour nos femmes, nos amis et nos chefs à conna î tre les endroits où nous nous trouvons et à prendre quelques photos entre familles et amis mais surtout non compromettantes pour le système. v tu t’es vu quand t’as bu ? v autre exemple, la justice bouge beaucoup, en ce moment. v plus de décibels en déterrant d’anciens dossiers pour étouffer et enterrer les échos des affaires de chakib khellil amar ghoul bédjaoui et leur parrain. v la constitution sera amendée comme prévu… v vous voulez dire que le troisième mandat sera prolongé pour sauver le clan et permettre au suzerain de mourir sur le trône. v on finira cette discussion après j’ai mal aux pieds, je ne peux plus réfléchir ! v vous réfléchissez avec vos pieds ? auteur : azeddine allouit repost 0 published by azedallo - dans algérie politique commenter cet article 2 avril 2013 2 02 / 04 / avril / 2013 19:10 vous reprendrez bien un peu de première magistrature (4ème mandat) le charivari et le boucan faits autour d’un quatrième mandat relèvent de la dimension du même rang. ce dernier s’annonce aussi terne et vicié que le premier, le deuxième et le troisième réunis. le champ politique nappé de pétrole et drapé de corruption, de concussion et de forfaitures sert de trame de fond à un personnel trié sur le volé « volet ». les loups et les hyènes sont rameutés, qui pour sauvegarder la ruche nourricière, qui pour prémunir ses dividendes déjà assurés au sein de la famille prédatrice, les autres pour préserver leurs positionnements sur le damier politique en perspective d’une conversion par la violence du pouvoir qu’ils espèrent et appellent de tous leurs vœux… tous cuirassent le parrain, le caressent, le cajolent et flattent son égo hypertrophié jusqu’à… le maître par tant d’adeptes de l’allégeance emmuré ; des caresses et des câlins de sa clientèle entouré ; son cœur de lilliputien, par toutes ses réalisations, grisé ; en oublie les élans de liberté, de justice et de libre arbitre brisés ; et par sa faute et sa faune tous les biens de ce pays détournés ; pillés, blanchis, amassés à l’étranger, thésaurisés plus que nécessaire ; la compromission, la forfaiture, l’abandon et la politique des serfs et l’État par le césarisme, la curée et la déliquescence décharné ; le bâton et la prison invités, la tomate et la patate hors de portée ; la culture marginalisée, le culte du dieu du ciel et du dieu de la contrée adoptés ; des hommes politiques à la friponnerie, à la servilité et à la trahison manufacturés ; jaillissent par chiées tels des geysers en terre d’islande prêts pour la curée ; le pétrole, cette maudite obole divine, a perverti l’aire, le hère et l’air ; le roi ubuesque assis sur nos basques délègue ses frasques la mine débonnaire ; elle a dissolu les mœurs de la tour, de la cour et de tous ceux qui l’entourent ; elle a fait le tour, le pourtour, les contours et les alentours de tout le parcours ; les zélateurs par une quatrième mandature en villégiature alléchés ; À bras raccourcis, sur les contradicteurs le malheur, ne cessent de prêcher ; le risque de rater la marche au seuil de « beit-el-mal »le sésame ; fait perdre aux thuriféraires, aux flagorneurs et aux courtisans le peu d’âme ; qui leur reste, ils font perdre à la nation ses repères et ses enfants par l’eau et la flamme ; pervertissent, le sport, l’école, l’usine, la famille, les amis, la religion et de politique brament ; ceux qui par précipitation ont péché, se présenter ou le cogiter simplement les a précipité ; dans des avens abyssaux d’où ils sortiront bien ou mal drapés des oripeaux de la fétidité ; affirmer la négation du service public, l’affaiblissement de la solidarité, est le leitmotiv tacite ; la gestion laxiste, la formation médiocre, la nomination clientéliste, les repères baathiste ; « mal el beilik » est là qui attend qu’on le cueille, pourvu que patte blanche, on montre ; un chemin privilégié vers la rente on se fraye, une sujétion au roitelet on démontre ; pendant ce temps : le régime joue au voleur et au gens d’arme : le casse du pôle judiciaire d’alger ; le régime frémit en pensant à la troisième génération de téléphonie mobile ; la saga à plusieurs volets de la sonate rack (un rack (de l'anglais rack, râtelier)) continue ; l’autoroute est-ouest continue d’enrichir ceux qui la gèrent ; l’agriculture, la santé, l’éducation, la justice… le vent de la rapine souffle partout ; des voleurs aidés par des rats quittent le bateau d’autres demeurent ; le bateau coule et nous, on s’étripe dans la fosse de l’adversité à défaut de se fondre dans la sauce du consensus. auteur : azeddine allouit repost 0 published by azedallo - dans algérie politique commenter cet article 22 mars 2013 5 22 / 03 / mars / 2013 20:40 le corps pour pécher et la corde pour se pendre ! le kidnapping d’enfants qui secoue aujourd’hui les consciences assoupies ou engourdies réveille les vieux démons de la loi du talion et les consciences ragaillardies réclament la peine capitale pour les odieux coupables de l’affront au dieu : dieu seul donne la vie et lui seul la reprend. on reprend : « dieu seul donne la vie » à ce stade, l’évidence s’impose à nous, car l’être humain et particulièrement, ceux de cet acabit ne parviendront jamais à donner ce genre de vie. « lui seul la reprend », là, le bât nous blesse voire nous tue. le descendant de l’homo sapiens n’a pas eu à trop se creuser les méninges pour transgresser la loi divine : « tu ne tueras point ! ». ainsi, et malgré ses prédispositions cognitives à l’abstraction et à l’introspection, malgré l’épithète flatteuse « sapiens : « raisonnable, prudent, sage et intelligent»» rattachée au nom de genre «homo », les sciences anthropologique et paléoanthropologique sont là pour nous montrer l’ampleur des bouleversements et des transformations qu’opère l’homo sapiens sur ses semblables en particulier et sur les écosystèmes en général l’homme donne la mort, se donne la mort, provoque la mort individuellement ou massivement. il a inventé des guerres pour mourir et donner la mort : guerre de religions, guerre civile, guerre chimique, guerre nucléaire… il tue sans distinction d’âge, de sexe, de situation, de lieu ou de temps, avec et/ou sans conditions. ce délirium qui l’agite l’amène à pécher contre son corps et contre le corps d’autrui combien même ce dernier serait un enfant ! a cette époque et dans ces contrées sevrées de sexualité et obsédées par le sexe, des centaines voire des milliers de gens charrient et imaginent tant d’expédients pour satisfaire leurs déviances sexuels. le désert culturel, le trop plein cultuel, les enfermements factuels, les conservatismes rituels, les mimiques talibanes génèrent le décor grandeur nature dans lequel se meuvent les déviants désaxées et s’émeuvent les oligarques dont la non- gouvernance ou la gouvernance par l’absurde et constituent le vecteur prédisposant et le facteur précipitant. noyer le poisson dans son élément naturel ! le kidnappeur d’enfants : on craignait cette abomination, tant qu’elle fut rare, maintenant que ses résonnances couvrent les bruits des affaires de corruption, de prédation, de mensonges et de zéro gouvernance, il faut aller droit là où le bât le blesse et l’annihile. auteur : azeddine allouit repost 0 published by azedallo - dans algérie politique commenter cet article 15 mars 2013 5 15 / 03 / mars / 2013 07:12 l'accord options ou comment prendre un pot-de-vingt ! la corruption ou l’accord options passé entre le système et sa clientèle est tacitement reconductible quel que soit le membre qui tombe sans effet de boule, même s’il y a beaucoup de neige. l’accord est effectif tant que la menace ne pèse sur personne, mais dès que des vagues commencent à s’élever plus que de permis, il faut surfer au-dessus et livrer les « corps rompus à rafler ce qui ne leur appartient pas» et de faible résistance à l’air du moment à la vindicte populaire euh, non à la vindicte journalistique. il faut absolument diriger les regards ailleurs, loin et en tout état de cause pas plus haut que le niveau de la mer et ne jamais braquer les projecteurs sur les hauteurs d’el-mouradia. un ministre nommé comme tant d’autres de la base arrière des ouajdadis et qui a pondu une loi sur les hydrocarbures sous la dictée d’un tuteur aphone. l’annulation de cette même loi été inspirée par le rescapé des seventies et président de l'amicale des dictateurs "el caudillo hugo chavez". ce ministre se retrouve aujourd’hui sans filiation ni affiliation et sert de bouc omis serf ! a la limite, s’il ne s’était agi que de ce khellil, aperçu à un aéroport algérien et pas inquiété par une injustice aux désordres. le ministre de l’antérieur vient sauver la mise à cette dernière en déclarant que ce sire n’est pas rentré au pays. le problème c’est que ces ministres et apparentés ramenés dans la besace ressemblent à ces trains qui, dit-on, chacun en cache un autre et nous sommes là comme des vaches atterrées à les regarder… nous dépouiller : said barkat, amar saidani, amar ghoul, khellil … nous coulions des jours démon créatiques jusqu’à ce que la justice italienne s’en mêle et vienne nous réveiller à notre triste réalité. le régime algérien a réussi la gageure de dépacifier le sud algérien réputé pacifique et pacifiste en le confirmant dans le statut d’ignoré et de dépossédé durant des décennies. il vient aujourd’hui le déclarer traître à la nation des privilégiés des premier et deuxième collèges et marionnette de la main de l’étranger intérieur et extérieur. ces cris d'orfraie poussés par une égérie, auxiliaire du pouvoir à ses moments perdus et porte-voix rémunérée à temps plein qui a appris tel le chien de pavlov à pt plus haut que sa pensée trop de kystes. la louisa nationale, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, le préposé aux droits de l’homme et du sous troyen et le caporal du syndicat des ministres seraient mieux inspirés s’ils vaquaient à faire faire des petits à leurs prébendes systémiques plutôt que de nous ânonner leurs réflexes conditionnels. ils devraient avoir honte, même s’ils l’ont bue cul sec, il y a des années déjà. le régime algérien, s’inspirant du roman de aldous huxley « le meilleur des mondes », châtra la société en la scindant en castes, la société du sud héritât du rang de « caste epsilon » c'est-à-dire le cinquième rang, le moins considéré et le dernier. les maltraitances que subirent les castes inférieures au cours des cinquante dernières années les ont réduits à l’état de protagonistes conditionnés pour réagir de manière blasée, passive et indifférente à la gouvernance dispendieuse, erratique et corrompue des castes alpha et bêta. le régime poussa la logique plus loin en décidant, à l’avance, de la future position de ses administrés dans l’échelle sociale : l’armée pour les enfants de militaires, sonatrach pour les enfants des gens de sonatrach, l’école française pour les enfants de ministres et l’école dépréciée et délavée pour les enfants gamma, delta et epsilon… la corruption est arrangée par le système et rangée par ses serfs là où elle pourra ronger la citoyenneté. auteur : azeddine allouit repost 0 published by allouitazeddine - dans algérie politique commenter cet article 1 2 3 4 5 6 > >> allouitazeddine voir le profil de azedallo sur le portail overblog créer un blog gratuit sur overblog top articles contact signaler un abus c.g.u. rémunération en droits d'auteur offre premium cookies et données personnelles

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Creation Date: 2004-02-25T19:51:07Z
Registry Expiry Date: 2020-02-25T19:51:07Z
Registrar: Gandi SAS
Registrar IANA ID: 81
Registrar Abuse Contact Email: abuse@support.gandi.net
Registrar Abuse Contact Phone: +33.170377661
Domain Status: clientTransferProhibited https://icann.org/epp#clientTransferProhibited
Name Server: NS0.PROCEAU.NET
Name Server: NS1.PROCEAU.NET
DNSSEC: unsigned
URL of the ICANN Whois Inaccuracy Complaint Form: https://www.icann.org/wicf/
>>> Last update of whois database: 2019-09-19T03:46:21Z <<<

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currently set to expire. This date does not necessarily reflect the expiration
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The Registry database contains ONLY .COM, .NET, .EDU domains and
Registrars.

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SERVERS

  SERVER com.whois-servers.net

  ARGS domain =over-blog.com

  PORT 43

  TYPE domain
RegrInfo
DOMAIN

  NAME over-blog.com

  CHANGED 2019-01-25

  CREATED 2004-02-25

STATUS
clientTransferProhibited https://icann.org/epp#clientTransferProhibited

NSERVER

  NS0.PROCEAU.NET 83.243.21.30

  NS1.PROCEAU.NET 77.87.104.10

  REGISTERED yes

Erreurs

La liste suivante vous montre les fautes d'orthographe possibles des internautes pour le site Web recherché.